Défi métiers et la FFP vous invitent à échanger et débattre de ” l’évolution du système de la certification professionnelle des personnes : un axe fort de la dernière réforme, pourquoi et comment ? “, le mardi 26 novembre 2019 de 9 h 30 à 12 h 30.
Date : mardi 26 novembre 2019
Horaires : de 9 h 30 à 12 h 30
Lieu : Lycée Diderot – 61 rue David d’Angers
75019 Paris
Modalités d’accès : inscription gratuite obligatoire en ligne (présentiel ou diffusion en direct).
Le système de la certification professionnelle s’est vu transformé par la loi « avenir professionnel » du 5 septembre 2018 : Nouvelle instance de régulation et de gestion des certifications au sein de France compétences, nouvelles modalités d’enregistrement des certifications, mobilisation élargie du CPF à toutes les certifications, réorganisation des commissions professionnelles consultatives…
- Ce nouveau système facilitera-t-il à terme la lisibilité de l’offre de certification par le grand public ?
- Participera-t-il à une meilleure orientation des personnes et à la sécurisation de leur parcours professionnel ?
- Dans quelle mesure répondra-t-il davantage aux besoins des entreprises ?
- Pour servir quels objectifs : recrutement, formation, etc. ?
Défi métiers et la FFP vous invitent à échanger et débattre de ces questions à partir d’apports d’experts et de témoignages de certificateurs.
En savoir plus sur la loi “avenir professionnelle”
Quelle place pour la certification professionnelle ?
L’AFDET et le Céreq ont interrogé les différents acteurs concernés par les certifications professionnelles. La publication “Les blocs de compétences dans le système français de certification professionnelle : un état des lieux” fait part de leurs principaux constats et analyses.
Dans la publication “Les blocs de compétences dans le système français de certification professionnelle : un état des lieux“, le Céreq s’interroge sur la place des blocs de compétences dans la formation : “est-ce que le découpage en blocs de compétences constitue, pour les individus, un facteur facilitateur d’accès à l’emploi par l’acquisition de certifications « intermédiaires », avec le risque de leur faible reconnaissance sur le marché du travail ? Ou bien n’est-ce pas le ferment de remise en cause d’un système des certifications construit dans une logique d’acquisition d’une qualification complète comportant les bases de savoirs permettant d’accompagner les personnes tout au long de leurs parcours professionnels, au détriment peut-être de leur « employabilité » immédiate ?”
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