Tribune sur le CPF de la sénatrice Dominique Estrosi-Sassone

1 réponse

  1. FLORIS dit :

    Je cite Madame Dominique Estrosi-Sassone :
    – “Au regard de ces montants et alors même que le Gouvernement ne parvient plus à faire redescendre le budget de l’État des sommets atteints en 2020, l’idée selon laquelle les salariés assumeraient une partie du coût de leur formation via le CPF au travers d’un reste à charge fait son chemin. C’est en tout cas une des recommandations d’un rapport d’information sénatorial transpartisan consacré à la gestion de France Compétences mais à la condition que le reste à charge soit modique et réservé aux seules formations ne débouchant pas sur une certification professionnelle pour ne pas remettre en cause la liberté des actifs d’accéder à la formation professionnelle de leur choix ni les en décourager.”

    Je constate que dans certaines branches de métiers, il n’est pas nécessaire d’avoir, une, deux ou encore trois certifications… avant d’être éligible au CPF (Compte personnel formation), ce qui est pourtant exigé actuellement, il faut le savoir qu’elles sont payantes bien évidemment !… De plus, c’est comme si vous donniez à quelqu’un son diplômé… une deuxième fois, voir une troisième fois ! Il est des métiers, notamment culturels, où la formation tout au long de la vie est un bloc de compétence, devenu indispensable pour un artiste et, qu’il est en soit suffisant au plan de sa carrière. De plus, il faut savoir aussi ce que doit posséder un artiste pour sa créativité, une technologique de pointe, son outil de travail principal. Ce qui revient à dire que financièrement, il est déjà très sollicité, il faudrait qu’en plus, il paie une partie de sa formation !!!… Je pense que Madame Estrosi-Sassone, n’a pas tout à fait connaissance des différents niveaux, aux conditions de vie de certains métiers, notamment dans le spectacle vivant et qui perd du terrain face au virtuel !

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